Le chemin

Journal sur le web, vendredi février 2009

Fibromya...quoi?
Depuis le mois de septembre (2009) mon toubib a diagnostiqué chez moi, attention je vais cracher: une barbare fibromyalgie (déjà diagnostiquée par ma naturopathe 6 mois auparavant). 
Les messages envoyés par mon corps sont les suivants (accrochez-vous):
Des douleurs diffuses ressenties comme des contractures ou des tensions musculaires, aggravées par l’effort, le froid, la fatigue, le stress, et évoluant de façon chronique. On constate aussi des troubles du sommeil, des migraines, un syndrome sec, des troubles digestifs, de l’anxiété et une tendance dépressive.

J'ai tout les symptômes, sauf l'état dépressif, j'essaie de trouver des solutions pour me soigner.

Parce que cette saleté est évolutive, non curable d'après les études cliniques. Je cite, les causes sont inconnues et apparaissent suite à un traumatisme, soit physique, comme un accident de la circulation ou une intervention chirurgicale, soit après un choc affectif ou une série de stress, soit après une période de surmenage. Il pourrait s’agir d’une perturbation du système nerveux central, abaissant le seuil de la tolérance à la douleur.". J'ai lu aussi que ce serait du à un système immunitaire défaillant, à la pollution (chimiques, électromagnétique, vaccinale dont le vaccin antihépatique B, psychique, etc. 

En ce qui me concerne, je penche pour les pollutions chimiques, magnétiques et vaccinales et les traumatismes affectifs, je ne me suis toujours pas remise de la mort de Popeye (le surnom de mon père), il me manque toujours autant. 

Je deale avec mon divorce, mais là, je m'en sors plutôt bien. J'ai retrouvé une liberté depuis longtemps perdue, elle me permet de redevenir moi-même et de ne plus entrer dans le cadre étroit dans lequel on essayait de m'inscrire, donc libération psychologique, acquise révolte après révolte.
Comme il n'y a pas de hasard, cette maladie est du pain béni pour mon moulin travailleur.
Bien entendu, j'ai décidé d'exploiter tout ce que j'ai lu, appris jusqu'à présent, et de le partager. Les douleurs ne datent pas d'hier mais je vivais en essayant de les occulter, me disant naïvement que ça passerait.

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